ACTIONS 64_page


1. oiseaux – projet BD et ILLU Jeunesse

Sortie de la revue à Angoulême au 51ème Festival BD

  • Rentrées  des projets 31 octobre 2023 – 6 pages maximum, tous les styles imprimables sont les bienvenus. 
  • Tous les récits sont les bienvenus en littérature jeunesse et BD
  • Adrien Chevalier, de la Ligue de Protection des Oiseaux est un spécialiste des oiseaux sera à votre écoute pour vous aider à élaborer vos récits ! Vérifier, au besoin, sa crédibilité:  
  • adrien.chevalier@protectiondesoiseaux.be
  • Infos supplémentaire : 64page.revuebd@gmail.com

2. Une planche, une histoire, pour dynamiser les idées

Sans limite de style, de technique, de sujet …

Une idée forte exprimée en une planche. Le B.A.ba de la BD, puisqu’il s’agit de retrouver la planche publiée dans le supplément hebdomadaire des quotidiens et/ou les récit en une planche des meilleures auteurs des magazines.

L’efficacité – du récit et du trait – est essentielle ! 

64_page constitue une réserve de vos meilleures planches et nous les publieront petit à petit dans les revues avec l’objectif de réaliser un jour un 64_page sur ce thème.

Tes projets sont très attendus ! 


3. La Cartoons Académie Cécile Bertrand

Chaque samedi, la grande cartooniste Cécile BERTRAND choisit le meilleur cartoon reçu pendant la semaine. Il est publié sur nos réseaux sociaux et, pour les 5 ans de l’Académie, nous concevons le projet de rassembler les meilleurs cartoons dans un recueil.

Tes cartoons sont à envoyer à 64page.cartoons@gmail.com

Toutes les infos utiles pour participer :

http://www.64page.com/cartoons-academie/comment-participer/

Tu peux aussi découvrir les cartoons de Cécile sur

Cécile Bertrand (en solo) : https://www.facebook.com/cecile.bertrand.12

Bert&Vanco (en duo) : https://www.facebook.com/groups/448497363061640

 

 


 


 

 

© Benjamin JOTTARD (4) et © Zélie GUIOT (Une)

 

1. Horta, du magasin Waucquez au Centre Belge de Bande Dessinée

Après les thématiques du western, du  scénario, du polar, du noir et blanc, 64_page propose que le #24 soit consacré au bâtiment du Centre Belge de la Bande Dessinée (CBBD).

  • Thème le CBBD, le bâtiment Horta et le magasin Waucquez
  • Du strip en 3 cases à la BD de 6 pages maximum.
  • Toutes les techniques peuvent être utilisées mais doivent être IMPRIMABLES
  • Les planches en PDF, TIFF ou JPEG en 300dpi
  • Date limite le 15 novembre 2022*

Parution janvier 2023 (Festival d’Angoulême)

 

Une BD qui a LE lieu BD de Bruxelles pour cadre d’inspiration.

Le Centre Belge de la Bande Dessinée, les anciens magasins Waucquez conçus par Victor Horta.

Conçu par Victor HORTA en 1903 et inauguré en 1906, ce lieu est chargé d’histoires. Celle de l’architecture, celle de l’art nouveau à Bruxelles, celle des grands magasins, celle des femmes de leur émancipation, de leur droit au travail, à percevoir un salaire, à épargner, à gagner une certaine autonomie.

C’est aussi un symptôme de la bruxellisation, abandonné pendant des années, il renaît en devenant le premier lieu dédié au 9ème art à Bruxelles.

Le cadre formel et pratique

– du cartoon à la nouvelle graphique de maximum 6 pages, en passant par le strip de 3 cases.

– toutes les techniques sont autorisées pour peu qu’elles soient dans un format imprimable

– délais ultime pour la rentrée du projet le 1er décembre 2022.

– toutes les infos pratiques sur www.64page.com/actions-64/

Motivations

Un cadre historique et le cœur battant de Bruxelles

Le choix du CBBD semble évident, tant le lieu et l’institution devrait être la maison commune de chaque auteur.e, scénariste et/ou ou dessinateur/dessinatrice. Il est aussi une formidable vitrine pour la jeune génération. 64_page y a exposé deux fois ses jeunes auteurs en 2015 et 2016.

Le bâtiment lui-même, et son architecte Victor Horta pourraient servir de prétexte à nombre de scénarios, tant l’un et l’autre ont généré une oeuvre empreinte de nouveauté, d’audace, et aussi de mystère. Abandonné, proche de la ruine, le bâtiment n’a été sauvé qu’in extremis. Le CBBD n’y a été inauguré qu’à la fin de l’an 1989.

Un bâtiment, si remarquable soit-il, n’est rien sans les gens qui le font vivre, que ce soient ceux qui y travaillent au grand jour, comme les visiteurs, ou les travailleurs de l’ombre tels les agents d’entretien, les gardiens de nuit, toutes celles et ceux qui assurent l’intendance, etc.

Et aussi ceux et surtout celles qui l’avaient fait vivre pendant ¾ de siècles, les vendeuses et les clientes. Les magasins Waucquez ont été conçu par Victor Horta au début du XXème siècle. Selon son habitude le chantre de l’Art nouveau va révolutionner l’image du commerce et singulièrement des grandes surfaces commerciales.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_belge_de_la_bande_dessinée

https://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Horta

https://www.cbbd.be/fr/cbbd/un-chef-d-oeuvre-art-nouveau

https://www.admirable-facades.brussels/fr/facades/anciens-magasins-waucquez/

xSitué au cœur millénaire de Bruxelles, ce qu’attestent des vestiges datant de la période romaine, l’actuel CBBD est porteur de toute la gouaille de l’histoire de Bruxelles. Au fil des siècles.  Situé entre la cathédrale et l’environnement spécifique des marais des bords de Senne, ce quartier populaire, victime de la création de la jonction Nord-Midi,  a été le témoin de nombreuses et intenses activités humaines dignes d’être romancées. Il fait aussi partie du folklore, c’est à l’angle des rues des Marais et des Sables depuis 1213, chaque année le 9 août, après l’avoir promener dans les hauts lieux de la ville, le peuple bruxellois, plante le Meyboom, l’arbre de joie, qui commémore une victoire des Bruxellois sur les Louvanistes. Cette manifestation fait partie du patrimoine immatériel de l’UNESCO

Le quartier du Marais était aussi jusqu’il y a peu, le quartier de la presse regroupant les rédactions et les imprimeries de la presse militante, La Cité, Le Peuple (l’actuelle Fondation Marc Sleen), la presse syndicale et mutuelliste, Het Laaste Nieuw…

https://www.bruxelles.be/plantation-du-meyboom

https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_Bruxelles

https://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_des_Sables

https://fr.wikipedia.org/wiki/Meyboom

https://fr.wikipedia.org/wiki/Senne_(rivière)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Voûtement_de_la_Senne

 

Les grands magasins symboles des évolutions, de l’émancipation de la femme à la société de consommation

Au XIXème siècle, suite au Code Napoléon, la femme est considérée comme une mineure placée sous l’autorité d’un père puis d’un mari.

Les femmes de la bourgeoisie de sortent pas en rue non-accompagnées et les femmes des classes populaires travaillent mais quasi uniquement à domicile, métier à tisser, couture, etc. Il faudra attendre l’après guerre, en 1920, pour qu’elles obtiennent certains droits et émancipations. Cela s’explique par le rôle joué par les femmes qui ont pris la place des hommes dans les industries, les travaux lourds. La guerre finie, de nombreuse femmes se retrouvent veuves et isolées, les gouvernements leur ouvrent de nouveaux droits, celui – partiel de voter notamment et celui de travailler EN DEHORS de leur domicile, d’obtenir un salaire et d’épargner ! Les femmes de la bourgeoisie, elles, gagnent une certaine indépendance comme sortir en ville pour prendre le thé et visiter les grands magasins… C’est à cette époque que s’ouvrent la plupart des grands magasins bruxellois souvent conçus par Horta ou ses disciples. C’est le cas des magasins Waucquez au 20 de La rue des Sables, devenu aujourd’hui le Centre Belge de la Bande Dessinée.

Le travail des femmes dans les grands magasins :

https://www.cairn.info/revue-le-mouvement-social-2006-4-page-11.htm

https://theconversation.com/comment-la-creation-des-grands-magasins-a-contribue-a-emanciper-les-femmes-164127

https://french-francais-rag.com/premiers-grands-magasins-fin-19e-siecle-cathedrales-commerce/

https://www.rtbf.be/article/greves-des-femmes-un-outil-d-emancipation-a-travers-l-histoire-10705748?id=10705748

https://www.rtbf.be/article/hier-encore-le-combat-des-femmes-2-4-la-femme-mariee-une-mineure-sous-l-autorite-de-son-epoux-10418805?id=10418805

https://fr.wikipedia.org/wiki/Au_Bonheur_des_Dames

L’actualité du Centre Belge de la BD… propose Le Louvre vu par les auteurs de BD

La visite de l’actuelle exposition Bulles du Louvre montre comment des auteurs s’y prennent pour créer à chaque fois un récit différent, original, qui s’inspire de la vénérable institution, de ses collections, des gens qui la font vivre, d’un aspect autre et inattendu.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_du_Louvre

https://www.cbbd.be/fr/expositions/les-grandes-expositions-temporaires/bulles-de-louvre

https://www.gallimard.fr/Catalogue/FUTUROPOLIS/Musee-du-Louvre

http://editions.louvre.fr/fr/les-ouvrages/bandes-dessinees-jeunesse/le-louvre-et-la-bande-dessinee.html

 

À vos crayons, plumes et pinceaux…


3.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


ARCHIVES 

 

Anne Brouillard est née le 12 juillet 1967 à Louvain (Leuven), d’un père belge et d’une mère suédoise. Elle a fait des études d’illustration à l’Institut Saint-Luc à Bruxelles, d’où elle sortie en 1989. Depuis lors, elle n’a pas arrêté de créer essentiellement des livres pour enfants, plus d’une quarantaine aujourd’hui, quelques livres illustrés tous publics, des tableaux pour des expositions, qui portent tous sa patte artistique. Tant le travail paternel dans un laboratoire à Heverlee que les lacs et les forêts du pays natal maternel se retrouvent dans son œuvre. Son travail magnifique célèbre la nature sous toutes ses formes, y place des êtres humains en quête d’aventure, de quotidien ou de poésie. Sa recherche graphique sublime lumière tout en mariant avec naturel réalité et imaginaire.

En 1993, Anne Brouillard a reçu l’estimée Pomme d’Or de Bratislava pour son deuxième album « Le Sourire du loup » (Dessain, 1992). Un livre qui a aussi obtenu une mention à la Foire du livre de jeunesse de Bologne (section enfance) en 1993 et le prix Maeterlink en 1994. En 2000 lui a été décernée une mention en catégorie Fiction Jeunes Adultes à la Foire du livre de jeunesse de Bologne pour « Le grand murmure » (Milan, 1999).

En 2015, Anne Brouillard a reçu le Grand prix triennal de littérature de jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles en Belgique pour l’ensemble de son œuvre.

Xan Harotin vit et travaille à Bruxelles.

Elle dessine pour différents magazines.

Elle aime la nature, dessiner des animaux et imaginer des histoires.

Elle a publié son premier livre en 2018 en tant qu’illustratrice: « Le monstre plat«  écrit par Fabien Clavel et paru aux petites bulles éditions.

 

Les photos:

Lucie CAUWE, Anne BROUILLARD et Xan HAROTIN

 

 


 

 

 

 

 

 

Exceptionnellement à Bruxelles, à l’invitation de 64_page :

ANTONIO ALTARRIBA, scénariste du diptyque L’art de voler, prix national de la BD 2010, et L’aile brisée (dessins de Kim), et de la trilogie (dessins de Keko) Moi, assassin, grand prix de la critique 2015, le deuxième Moi, fou, vient de paraître chez Denoël Graphic.

Patrice RÉGLAT-VIZZAVONA boucle, lui, son premier album en auteur complet : Le passager (sortie le 5 avril chez Warum).
Patrice fait partie des auteurs qui ont choisi 64_page pour publier leurs premières réalisations.

Modératrice: Lucie CAUWE, journaliste littéraire,  lu-cieandco.blogspot.com




  VAILLANT, par Remedium.

Voir l’article en version intégrale.

 

La dessinatrice franco-tunisienne défie avec son chat « Willis from Tunis » les censeurs de tous poils. Elle participe au débat sur « le pouvoir du dessin de presse » dimanche 18 septembre au MondeFestival. 

 

Nadia Khiari et son Willis from Tunis (64_page #6) à l’honneur sur le site du Monde!
Nadia Khiari, à Cannes, le 20 mai 2013.
Nadia Khiari, à Cannes, le 20 mai 2013.

A peine entrée dans la salle de classe, elle dessine au tableau un chat ventru, deux doigts levés en signe de victoire. C’est Willis, l’insolent matou dont les aventures brocardent depuis cinq ans les travers de la vie politique tunisienne.

On est en fin de matinée, l’heure où les collégiens s’affalent sur leur chaise, et Nadia Khiari attaque aussi sec : « Quand j’avais votre âge, le journal, on l’appelait le “Tout va bien”, parce qu’on n’y trouvait que des mensonges. »

Dans la classe, les corps se redressent.En jean et perfecto de cuir noir, la dessinatrice tunisienne arpente à grands pas la médiathèque du collège Cesaria-Evora de Montreuil (Seine-Saint-Denis), ce matin de juin, à l’invitation de l’association Cartooning for Peace, pour une séance sur la liberté d’expression.

Nadia Khiari raconte la peur, l’arbitraire du clan de l’ancien président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali, les barrières invisibles qui délimitent le champ de ce que l’on peut dessiner ou écrire« Quand on voit ses amis jetés en prison parce qu’ils ont osé critiquer le régime, on apprend à ruser, à suggérer plutôt que dire. Jusqu’au jour où la parole se libère et là, il n’y a pas de retour en arrière possible. »

Un débat au Monde Festival:   Le pouvoir du dessin de presse

Willis from Tunis voit le jour sur Facebook le 13 janvier 2011, alors que les Tunisiens manifestent depuis un mois dans la rue contre la corruption et la répression policière. Le premier dessin représente des souris qui dansent sous le regard d’un Ben Ali en gros chat prêt à les croquer« C’était après son discours à la télé, il nous prenait vraiment pour des idiots avec ses belles promesses. »

Au départ, Nadia veut juste « faire rire quelques proches ». En une semaine, le profil de Willis passe de 20 à 1 500 amis et le chat devient l’une des icônes de la révolution tunisienne, tandis que les manifestations redoublent et que Zine el-Abidine Ben Ali décrète l’état d’urgence avant de quitter le pays.

Matous à barbe

Avec d’autres grafeurs, Nadia fête ce départ en investissant le quartier général abandonné des services de sécurité, sur les hauteurs de Tunis. « Je préfère les chats aux chiens parce qu’il n’y a pas de chats policiers », clame alors Willis sur les murs du bâtiment, symbole de la dictature. Il ne se taira plus.

Chaque jour ou presque, la caricaturiste publie un dessin sur les réseaux sociaux. La joie d’abord avec la préparation des élections d’octobre 2011, et aussi les premiers désenchantements et la montée de l’islamisme. Avec l’arrivée au pouvoir du gouvernement de coalition dirigé par le parti islamiste Ennahdha, des matous à barbe font leur apparition dans les dessins de Nadia. Un censeur peut en cacher un autre. Willis sort ses griffes, à l’affût du moindre retour en arrière de la démocratie post-Ben Ali.

C’est pendant ses études en France, à la faculté d’arts plastiques d’Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), que la jeune femme a découvert le dessin satirique. Récompensée par le prix Honoré-Daumier en 2012, elle continue de travailler comme professeur d’arts plastiques dans un lycée de Tunis.

« Le fait d’avoir un boulot me permet de choisir avec qui je veux travailler », explique celle qui publie en France dans Siné MensuelZélium et Courrier International tout en continuant à poster sur Facebook l’essentiel de ses dessins. La presse tunisienne ? « Ça ne m’intéresse pas d’être la mascotte d’un parti. »

Le rire contre la peur

Les réseaux sociaux restent la clé de son indépendance. Willis leur réserve ses insolences de chat bavard et mal embouché. Pour le dessinateur Plantu, Nadia incarne « un dessin de résistance ». « Elle est doublement courageuse, insiste son collègue israélien Michel Kichka, en tant que dessinatrice satirique et en tant que femme dans le monde arabe. »

« J’essaie que mes dessins ne puissent pas être manipulés par la  ”fachosphère”, nuance la caricaturiste. Pour moi une caricature récupérée par des extrémistes pour manipuler l’opinion est par définition un mauvais dessin. » Elle dit conjurer la peur par l’humour. Après l’attentat contre l’équipe de Charlie Hebdo, en janvier 2015, elle a publié un chat en train de faire ses courses : « Je voudrais du papier, un crayon et un gilet pare-balles », dit-il.

Lire aussi :   Exposition: Les dessinateurs de presse en première ligne

Aux élèves qui, dans les collèges, lui affirment que les dessinateurs de l’hebdo satirique « l’ont bien cherché », elle répond sans colère que « ceux qui sont morts à coups de kalach, c’était pas Satan mais des copains ». « La notion de sacré varie selon les gens. La vache est sacrée en Inde : est-ce que vous allez arrêter d’aller manger du steak au McDo ? »

Des « raisons de désespérer », elle en voit beaucoup : la misère qui touche 10 % des Tunisiens « sans que les gouvernements successifs se mobilisent vraiment » ou le vote sur la réconciliation nationale, qu’elle considère comme une « prime aux mafieux et un signe de connivence entre les alliés de Ben Ali et ce gouvernement ».La manipulation des foules aussi : « Regardez la polémique du burkini en France, on en fait des tonnes sur une poignée de femmes qui se baignent et on oublie les milliers de migrants qui se noient. »

La dessinatrice veut aussi se réjouir de « la jeunesse qui s’investit en Tunisie, des femmes qui sont sur tous les fronts, des idées qui avancent sur les droits des homosexuels ». A la rentrée, Nadia Khiari veut lancer des ateliers sur la liberté d’expression dans des écoles et des prisons tunisiennes.

Retrouvez toutes les infos sur le débat « Le pouvoir du dessin de presse », table ronde animée par le dessinateur Plantu. Avec les dessinateurs Michel Kichka, Louison, Firoozeh Mozaffari et Willis from Tunis. Dimanche, 18 septembre, de 11 heures à 12 h 30, Opéra Bastille (amphithéâtre), Paris 12e.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/

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LE SOLEIL DE LA LIBERTE

(version intégrale)

Vincent Baudoux

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